Una Estrella Roja

Un sujet en espagnol : ecrire une histoire imaginaire ou réel. ( vous inquiétez pas, je la traduis !) C'est ce qu'on a fait, mes amies et moi. On a évoqué un sujet de tous les jours... La vitesse

Una Estrella Roja (l'étoile rouge)

C'était la rentrée des classes au lycée. Adela, une jeune fille de 15 ans, était nouvelle. Elle arrivait d'Espagne. Tous les autres élèves la dévisageaient, comme ci quelque chose n'allait pas. Elle s'assit au fond de la classe, seule et toujours ces regards fixaient sur elle. Adela avait bien compris qu'ici, les gens ne pensaient qu'à leur physique, la mode ; l'avis des autres était le plus important... Elle ferma les yeux et entendis :
"Eh, t'as vu ca ? Cette fille là, elle a les yeux rouges. Bah ! c'est horrible, on dirait un monstre !
- Ouais ! Et t'as vu ses habits ? pfff, elle se fringue comme une grand mère, elle n'a aucun gout, aucun style !
-Fermez la."
Adela ouvrit les yeux, surprise. Un jeune homme, du meme age qu'elle, se freya un passage parmit ces "spectateurs" pour se placer devant celle-ci. Il l'a divisagea, mais d'un regard doux, et s'assit a coté d'elle.
"Salut ! Fais pas attention à ces gens, ils disent n'importe quoi.
- Je remarqué ça...
-Hum ? tu viens d'où ? laisse moi deviner... vue ta couleur de peau... Perou !
- España, dit-elle avec un sourire timide
- presque ! et euh... como te llamas ?
- Adela
- Me llamo Lucas, encantado ! *
- Silence s'il vous plait ! le cours va commencer"
Lucas s'approcha de l'oreille d'Adela et lui chuchota si elle voulait bien venir voir les étoiles ce soir là. Elle refléchit un long moment puis accepta.

Pendant qu'Adela s'allongeait sur l'herbe, Lucas cherchait son télescope.
Il lui racontait tout ce qu'il savait sur les étoiles, les constellations, il était vraiment passioné et Adela aimait. Elle découvrait quelque chose de nouveau. A un moment, il insista sur un étoile particulière :
"tu sais, je sais pas si tu avs tout comprendre de ce que je vais te dire mais, cette étoile que tu vois, elle est étrange n'est ce pas ? J'aimerais en savoir plus sur elle, tout comme toi. Je veux te connaitre, savoir tes gouts, tes pensées. Si tu veux pas dis le moi, et je te lais...
- no. Je bien vouloir parler à toi."
Ils parlèrent toute la nuit et avant que le nouveau jour ne puisse apparaitre, Lucas ramena Adela chez elle. Pendant qu'Adela ouvrait sa porte, Lucas lui pris les mains, et lui déposa un doux baiser pour enfin s'en aller. Elle rentra, heureuse, se mit à la fenetre, et le regardait partir quand soudain, un chauffard percuta Lucas. Adela sortit a toute vitesse, vit Lucas dans une marre de sang et inconsciant... Il était mort. Adela pleura tellement que l'on avait l'impression que ce n'était pas de l'eau qui coulait, mais du sang.
Adela était de nouveau seule parmi les gens qui l'a prenaient pour une bete sauvage dans un zoo.

*je m'appelle Lucas, enchanté

voial, je ne déprimais pas ce soir, et maintenant je déprime. Allez un truc qu'onna tous recu par mail mais qui me fais tjs qqchose car je le trouve TRES TRES bien écrit. Presque.. vivant...

Je suis allé à une soirée, maman, et je me suis souvenue de ce que tu m'avais dit. Tu m'avais dit de ne pas boire, maman, alors je n'ai pas bu. Je n'ai pas bu avant de conduire, maman, même si les autres m'ont incitée. Je sais que j'ai fait la bonne chose, maman. Je sais que tu as toujours raison. Maintenant, la boum est presque terminée, maman , et tout le monde prend le volant. Quand je suis entrée dans mon auto, maman, j'ai su que je rentrerais à la maison grâce à la manière dont tu m'as élevée. J'ai commencé à conduire, maman, et comme je sortais pour prendre la route, l'autre auto ne m'a pas vue, maman, et elle m'a frappée. Je suis étendue sur le pavé, maman. J'ai entendu le policier dire que l'autre garçon était saoul, maman, et maintenant, je suis celle qui paye! Je suis couchée ici, en train de mourir, maman, j'espère que tu arriveras bientôt. Comment ceci pouvait m'arriver à moi, maman? Ma vie vient d'éclater comme un ballon. Je baigne dans mon sang, maman. J'entends les ambulanciers parler, maman, et je vais mourir dans peu de temps. Je voulais simplement te dire, maman : je te jure que je n'ai pas bu ! C'était les autres maman. Les autres n'ont pas réfléchi. Ce garçon était probablement à la même soirée que moi. La seule différence c'est qu'il a bu et que c'est moi qui vais mourir... Je sens beaucoup de douleur maintenant. Le garçon qui m'a frappé marche et je ne crois pas que ce soit juste. Je suis étendue ici en train de mourir et il me regarde en me fixant... Dis à mon frère de ne pas pleurer, maman. Dis à papa d'être brave et quand je serai au paradis, maman, tu écriras : la fille à papa, sur ma pierre tombale. Quelqu'un aurait dû lui dire, maman, de ne pas conduire s'il avait bu. Si seulement quelqu'un lui avait dit, maman, je serais encore vivante. Ma respiration devient de plus en plus courte, maman, et j'ai peur. S'il-te-plait, ne pleure pas maman. Quand j'avais besoin de toi tu étais toujours là. J'ai une dernière question maman avant de te dire adieu : Je n'ai pas bu avant de conduire, alors pourquoi suis-je celle qui meurt ?

oh oui, je la connais celle ci, c trop bo !

ben moi je la conaissait pas !! c'est horible comme histoire !!!

je crois que je viens de comprendre d'ou venait cette décharge d'émotion quand on lit ce texte... c'est tout con.. c'est l'utlisation du mot "maman" pour ponctuer chaque partie de phrase... Ca donne de l'impact et ca nous renvoie aussi un souvenir maternel, une image sentimentale, nostalgique. On s'identifie donc à cette fille qui meurt car on pense à sa mère. Maman, maman, un enfant qui appelle sa mère ca fait tjs frémir qqpart. C'est marrant hein de remarquer ca... comment un simple mot répéter plusieurs fois donne tout une intonation dramatique et personnelle au texte...... Je t'aime Maman.

c'est vrai que moi j'aurais jamais remarqué !!